Ils écrivent pour Vivre

Eric Eymard

Eric Eymard

Eric Eymard (alias Lislandais) est à l’origine de la création du site Vivre en Islande. Il a par ailleurs fait preuve d’une certaine obstination pour entamer une carrière de chroniqueur, après avoir fondé et dirigé une agence conseil en marketing opérationnel. A défaut d’être totalement parvenu à changer de profession, ce héros méconnu a tout de même réussi à changer de vie, ce qui n’est déjà pas si mal. Certains lui ont toutefois fait remarquer qu’il était possible de changer de vie sans pour autant se retrouver à proximité du Cercle polaire arctique. Ont-ils totalement tort ? Après 5 années passées en Islande, Eric est désormais installé à Paris et retourne sur l’île régulièrement pour alimenter le site.

LIRE LES BILLETS D’ERIC SUR VIVRE EN ISLANDE

Photo Michel Salle

Michel Sallé

Michel Sallé s’est posé un été à Reykjavík, voici 45 ans, et s’est pris de passion pour le pays et ses habitants. Il a décidé d’essayer de comprendre comment 180.000 personnes pouvaient vivre « confortablement » sur cette île, a écrit une thèse de doctorat, a maintenant une famille en Islande, mais il cherche encore, notamment en écrivant des Chroniques Mensuelles qu’il publie sur Vivre en Islande.

LIRE LES BILLETS DE MICHEL SUR VIVRE EN ISLANDE

Solveig Anspach

Solveig Anspach

Née sur l’île Islandaise de Vestmannaeyjar d’un père américain et d’une mère islandaise, Sólveig Anspach sort de la Femis en 1989 après avoir suivi des études de philosophie et de psychologie clinique à Paris. Qu’il s’agisse (pour ne citer qu’eux) de «Haut les cœurs !» avec Karin Viard, de «Stormy Weather» avec Elodie Bouchez ou encore de «Queen of Montreuil» dont la sortie est prévue pour le 20 mars 2013, la réalisatrice franco-islandaise met au monde des films inclassables, à la fois subtiles, poétiques et intimistes qui révèlent les univers riches et attachants de ses personnages. Pour en savoir plus sur Solveig ou découvrir l’émouvante Queen of Montreuil sur Facebook.

NDLR : Solveig a été la marraine de ce site jusqu’à sa disparition en août 2015.

Photo : Isabelle Razavet

LIRE LES BILLETS DE SOLVEIG SUR VIVRE EN ISLANDE

Eric Boury

Eric Boury

Né le 30 octobre 1967, Eric Boury passe son enfance dans un village au sud du Berry, avant de partir pour la Normandie où il étudie l’islandais, le suédois, le norvégien et l’anglais. Entre 1987 et 1989, il passe deux années en Islande à apprendre la langue et à travailler tour à tour comme postier, garçon de ferme et plongeur dans le nord du pays ainsi qu’à Reykjavík. A son retour, il soutient un mémoire de maîtrise sur le poète islandais Steinn Steinarr à l’université de Caen. Devenu professeur d’anglais et de lettres en lycée professionnel en 1994, il traduit 101 Reykjavík de Hallgrímur Helgason, sa première publication, en 2002 grâce aux incitations de Régis Boyer sous la direction duquel il soutient un DEA en 2000 à l’université Paris IV-La Sorbonne. Il passe une nouvelle année en Islande en 2004. Depuis, il a traduit plus de vingt livres, de tous genres littéraires, parmi lesquels ceux d’Arnaldur Indriðason, Árni Thórarinsson, Einar Már Guðmundsson, Kristín Ómarsdóttir, Jón Hallur Stefánsson, Sjón, Stefán Máni et Jón Kalman Stefánsson. Il enseigne actuellement l’anglais et les lettres au Lycée Camille Claudel à Caen et est également lecteur pour le compte de plusieurs maisons d’édition : Métailié, Gallimard, Gaïa et Rivages. 

LIRE LES BILLETS D’ERIC SUR VIVRE EN ISLANDE

Dominique

Dominique Plédel Jónsson

Dominique Plédel Jónsson est l’heureuse grand-mère de 5 petits enfants et géographe de formation. Elle a découvert l’Islande en 1969 et s’y est installée deux ans plus tard. Après une longue carrière dans les services commerciaux de l’Ambassade de France en Islande, au Danemark et en Norvège, elle a travaillé dans le tourisme et l’importation de vin avant de fonder sa propre école du vin à Reykjavík. Depuis 2008, elle est aussi présidente de Slow Food à Reykjavík (membre depuis 2001) et secrétaire de Slow Food Pays Nordiques. Enfin, Dominique est membre du CA de l’Association des consommateurs et de la Chambre de Commerce Franco Islandaise, ainsi que de la Sommellerie Islandaise.

LIRE LES BILLETS DE DOMINIQUE SUR VIVRE EN ISLANDE


Félicie Eymard

Félicie Eymard-Picollec

Fille aînée d’Eric. Globe trotteuse mordu d’art et de design. Étudiante en Design industriel au Royal College of Art de Londres après 3 années passées à l’école La Cambre de Bruxelles. Dessinait des princesses à l’âge de 4 ans. Un peu moins aujourd’hui. Fan de l’Islande, où elle a vécu durant 3 ans. Pour découvrir son travail.

LIRE LES BILLETS DE FELICIE SUR VIVRE EN ISLANDE

Ólöf Pétursdóttir

Ólöf Pétursdóttir

a imaginé un arc-en-ciel entre l’Islande et la Bretagne, et y a élu résidence. Vous pouvez la lire ici et  ou lui confier vos traductions. (photo de Zaellig)

LIRE LES BILLETS D’OLÖF SUR VIVRE EN ISLANDE

Estelle Burgel

Estelle Burgel

Née le 11 mai 1971 dans une famille d’artistes et de gastronomes, Estelle passe sa petite enfance à Paris et son adolescence en Touraine. Pour ses trois ans, ses parents l’emmènent voir Michel Fugain et le Big bazaar. Pendant tout le spectacle, elle est debout dans l’allée à chanter avec les artistes. Elle se rêve archéologue, danseuse étoile, épouse de Michael Jackson ou de Mozart, mémorise les chansons de comédies musicales, chante avec son père et ses soeurs  (elle a deux soeurs et deux frères) et guidée par sa mère se passionnera pour l’art culinaire et l’astrologie. Des études classiques, mêlant musique et art dramatique au cursus du lycée la mèneront à vouloir devenir thérapeute. A 20 ans, elle part étudier l’art dramatique et l’anthroposophie à Emerson College (GB). C’est là qu’elle rencontre pour la première fois des islandais  qui n’auront de cesse de lui dire qu’elle est née pour vivre sur leur île. Le premier février 1997, elle débarque en Islande en pleine tempête de neige et découvre que l’aventure et l’amour sont au rendez-vous. Enseignante diplômée de l’Université d’Islande, Estelle vit à Selfoss avec son mari et leur trois enfants. Elle travaille dans un foyer pour enfants handicapés et continue de voir sa vie comme une comédie musicale.

LIRE LES BILLETS D’ESTELLE SUR VIVRE EN ISLANDE

Cynthia Gerbore

Cynthia Gerbore

A découvert l’Islande par un merveilleux hasard : en cherchant sur internet quelle destination serait parfaite pour un voyage de noces en 2011. Elle ignorait à quel point cette découverte changerait sa vie..!
Diplômée de l’école d’orthophonie de Bordeaux depuis 6 ans, elle a choisi de tout quitter -sauf son mari, ses deux chats et son violoncelle- pour venir s’installer en Islande en septembre 2015

LIRE LES BILLETS DE CYNTHIA SUR VIVRE EN ISLANDE

auteur Vivreenislande.fr

Gilbert Muller

L’ayant aperçue dans un clip de Björk en 1997, j’ai rêvé d’Islande plus de 10 ans avant d’enfin pouvoir fouler ses champs de lave originels en septembre 2008. Ma rencontre avec cette île fût bien plus qu’un coup de foudre, ce fût une seconde naissance. En 2010, ma conviction d’appartenir à cet endroit m’a poussé à quitter mon travail de psychologue pour tenter une nouvelle vie en Islande. Ma passion pour sa nature et sa culture sont à l’origine de ma formation de guide touristique, en islandais, à Reykjavik. Aujourd’hui, j’exerce le plus beau métier du monde… Je fais découvrir l’Islande aux touristes et j’ai à coeur, bien au-delà de transmettre mon savoir sur ce pays, de surtout faire aimer cette terre si singulière.

LIRE LES BILLETS DE GILBERT SUR VIVRE EN ISLANDE

pierre-alain treyvaud

Pierre-Alain Treyvaud

Ses premiers pas dans l’île datent de 1983. Il avait alors 22 ans. Ce voyage est le seul qu’il a réalisé en Islande durant l’été. Depuis, il y est retourné à sept reprises, toujours en hiver. Seize mois à vivre sous tente, à marcher, à photographier les montagnes ou les aurores boréales, à s’émerveiller de tout ce que lui offrait ce pays fascinant. À ces occasions, il a aussi effectué plusieurs raids à skis en solitaire sur les hauts plateaux désertiques. Devenu photographe semi-professionnel depuis les années quatre-vingt-dix, Pierre-Alain aime également écrire. En 2015, il a publié un ouvrage retraçant ses aventures (Vagabond d’Islande, Éditions Favre.) Vivre en Islande ? Ce Suisse d’origine l’envisage plus en poursuivant sa quête nomade que d’y élire réellement domicile. Et de préciser ; en campant, je me sens en parfaite harmonie avec la nature et les éléments qui la régissent : volcans, glaciers, tempêtes et lumières me transportent aux confins de l’imaginaire. L’Islande sauvage est le reflet de mon univers onirique, une réponse tangible à ma nostalgie d’un monde originel. Un coin sur cette Terre qui m’exalte et m’apaise, même lorsque je n’y suis pas.

LIRE LES BILLETS DE PIERRE-ALAIN SUR VIVRE EN ISLANDE

Thomas Radoube

Thomas Radoubé

Né en 1986 en Bretagne, breton – voyageur, donc – et fier de l’être ; d’origine adriatique – voyageur, encore, donc – élevé au bord de l’eau, dans un petit port de Bretagne Sud, avec vue sur des petites îles (que je connais aujourd’hui par cœur), j’étais toujours à harceler, du haut de mes 9-11 ans, les capitaines de bateaux que je connaissais pour qu’ils m’emmènent avec eux en mer. Et figurez vous que ça a marché plus d’une fois ! En échange, je passais le jet d’eau sur le pont. Demandez à Thierry, l’ancien capitaine du Port-Liberté, si il se souvient d’un petit emmerdeur prénommé Thomas… Voila, vous avez assez d’indices pour savoir de quel petit port il s’agît. Je ne sais plus comment je suis venu a aimer le froid, l’Arctique, l’Antarctique, mais je me souviens que c’est venu très tôt. A 16 ans, je connaissais déjà tout des grandes explorations, et j’avais déjà presque achevé mon premier roman, appelé naïvement «Antarctique» (toujours au même stade depuis, d’ailleurs). J’aurais voulu être un explorateur. Polaire. Shackleton (le chef parmi les chefs), Hurley, Nansen, Franklin, Nobile, Amundsen (en fin de compte, c’est peut-être plutôt lui le Patron). Tiens d’ailleurs, avez-vous remarqué que je suis né le même jour que lui ? Bizare autant qu’étrange. Tout comme Michel Desjoyaux, grand navigateur et explorateur à sa manière. Comme je ne pouvais pas aller au Pôle Sud (même si ça me démange atroçement), je suis allé au Pôle Nord. Pour mes 18 ans, je suis allé hiverner à Longyearbyen, Svalbard, d’octobre à décembre 2004, où j’ai beaucoup appris à l’Unis sur les grosses bêbêtes qui vivent dans l’eau. J’ai surtout beaucoup appris, par moi même, sur le climat, sur la température, sur la météo, sur le froid, sur le blizzard, sur la nuit permanente, et sur la sociologie. C’est important, la sociologie. Et ça m’a plu. Beaucoup. J’y suis retourné, en été cette fois. Pas pareil. Planifié (et payé) trois semaines en Terre De Feu entre temps, mais ça n’a pas pu se faire. Merde. Par contre, Canada, Alaska, Suède, Finlande… ça, c’est fait !
Et puis l’Islande m’intéressait depuis fort longtemps, historiquement, géographiquement, arctiquement, socialement, musicalement. Alors j’y suis allé. Tout simplement. Janvier 2007 fût comme une seconde naissance. C’était ma première expérience dans cet unique et si symbolique pays. Non, je ne suis pas allé au Blue Lagoon. Non, je n’ai pas payé une fortune pour le Golden Circle. J’ai opté pour une version plus intimiste, beaucoup moins chère à l’époque. Et c’est ainsi que j’ai rencontré des islandais, chaleureux, intéressants, passionnants. C’est au musée de Skogar que j’ai fait la rencontre de Thordur, Hans-Martin, Martina et Sverrir, et c’est là que tout à commencé !
Je suis rentré chez moi, bien nostalique. Et suis revenu, moins de trois mois plus tard. Et j’ai commencé à apprendre le pays, sa langue, ses habitants, son histoire, sa culture, grâce à Thordur et son équipe. Visite guidée dans le musée, départ d’excursions guidées sur le célèbre trail et vers la chute cachée de Kvernufoss… Ça à duré jusqu’en septembre 2008. Puis un peu en 2009, et finalement, je ne suis revenu qu’en 2015. J’ai, au total, passé 188 jours (je viens de compter), sur l’Île. Mais malheureusement, tout à changé. Je ne reconnais plus aujourd’hui cette Islande que j’ai connue autrefois. Je ne reconnais plus ces islandais que j’ai connu non plus. A part certains (qui vivent loin de Reykjavik), beaucoup se sont soumis aux nouvelles modes et au nouveau tourisme de masse. Mais quoi qu’il arrive, cela ne m’empêchera jamais de revenir, même si je dois attendre que la mode passe. Car, plus qu’aucun autre des 45 pays que j’ai visités, l’Islande a su me toucher au plus profond, avec tout ce qu’elle est, tout ce qui la fait, et tout ce qu’elle représente pour moi.

LIRE LES BILLETS DE THOMAS SUR VIVRE EN ISLANDE

Björg Björnsdóttir

Björg Björnsdóttir

a passé son enfance dans l’Est de l’Islande. Pour des raisons plus ou moins obscures, elle s’imaginait tôt sur un vélo bleu, baguette sous le bras, sur des chemins bien battus. Dès qu’elle pouvait, Björg est donc partie pour le Sud de la France pour démarrer une histoire d’amour qui dure encore. Journaliste de profession, elle est récemment repartie s’installer dans son village natal dans l’Est où elle admire le temps qui la surprend tous les jours, toutes les heures, toutes les minutes, secondes…

LIRE LES BILLETS DE BJÖRG SUR VIVRE EN ISLANDE

vivre en islande

Marie Pierrat

Etudiante en philosophie à la Sorbonne, c’est d’abord une passion pour la scène musicale islandaise qui l’a amenée à poser les pieds sur l’île. Originaire des Vosges, elle a dans le sang un accent bien prononcé, mais surtout l’amour des grands espaces et des terres sauvages. C’est lors de son premier voyage qu’elle est tombée inconditionnellement en amour pour l’Islande et sa culture. Un second voyage en Islande, où elle a encadré un groupe de jeunes à la conquête des fjords de l’ouest,  a confirmé autant son désir de tisser des liens toujours plus étroits avec le pays, que celui de partager son expérience du voyage et sa passion pour la culture islandaise.

LIRE LES BILLETS DE MARIE SUR VIVRE EN ISLANDE

Jean

Jean Antoine Posocco

Jean vient de passer le cap de sa trentième saison islandaise en septembre 2013. Parti sur un coup de coeur en 1983 il enrichit la population de trois enfants et trouve sa place dans la société comme illustrateur. A sa sortie de l´école des beaux arts d´Islande, diplôme de publiciste dans les mains, il travaille dans ce domaine quelques années parallèlement à ses travaux d´illustrateur et de peintre aquarelliste. Très vite le dessin pour enfant lui prend plus de plaisir que la pub et s´y consacre entièrement malgré les difficultés pécuniaires qu’un tel statut confère. Pour pallier à cela il enseigne le dessin, la peinture, la reliure. Cuisine pour les touristes ou bien distribue Morgunblaðið. Gére avec d’autres artistes une galerie d’art. Dernièrement, assistant de vie. Depuis ses 7 ans et la lecture d’un gros album du journal Spirou sur son lit d’hôpital, il lit et aime la bande dessinée. En 1996 il prend part au magazine de BD islandais « Blek » qui vient de sortir et en devient l’éditeur. Apres dix numéros, le magazine prend le nom de « NeoBlek » et commence à publier des séries franco-belges. Aujourd’hui Jean s’est lancé dans l’édition de bandes dessinées traduite du français et publie Spirou, Lou, Chronikids et Astérix. Ses sites : http://myndasogur.is/Jean_forsida.html & http://myndasogur.is/

LIRE LES BILLETS DE JEAN SUR VIVRE EN ISLANDE

MICHAEL LEVY

Michael Levy

Michael Levy fait ses armes avec la photographie argentique 24×36 et moyen format sur son Rolleiflex. Il réalise un premier reportage pour le magazine Vogue à l’âge de 26 ans mais s’oriente rapidement vers la photographie de voyage, sa véritable passion. Explorateur, écrivain, il profite de ses expériences pour monter sa maison d’édition en 2012. Il propose sur son site International Photographer une iconographie très riche, ainsi que des outils graphiques & éditoriaux innovants pour les voyageurs amoureux de photographie. Fasciné par les pays nordiques et tout spécialement l’Islande, il crée la toute première carte géographique pour les photographes désireux de découvrir ce pays et y organise régulièrement des « workshops » pour transmettre sa passion.

LIRE LES BILLETS DE MICHAEL SUR VIVRE EN ISLANDE

Sophie Froment

Sophie Froment

Cela fait près de 20 ans que Sophie exerce avec passion et beaucoup d’implication ses talents d’animation, de formation, de conciliation, de coordination… au sein d’organisations et d’entreprises telles que COFACE, Valeo, Alstom ou Electronics Arts. Elle s’installe avec sa famille à Reykjavik en août 2010, lorsque le groupe Islandais CCP Games lui confie le poste de Vice Présidente en charge des Ressources Humaines. Un lieu de vie qui n’exclut pas de fréquents déplacements aux Etats-Unis ou en Chine pour veiller au bon déploiement des méthodes de travail et de la culture du concepteur de Eve Online.

LIRE LES BILLETS DE SOPHIE SUR VIVRE EN ISLANDE

Jean-Yves Courageux

Jean-Yves Courageux

Après un diplôme du Cercle de la Librairie et quelques années d’exercice en tant que libraire, Jean-Yves Courageux décide de partir vivre en Scandinavie, plus particulièrement en Islande. Il y passe près de vingt ans en y apprenant la culture, la langue et les coutumes de cet étonnant microcosme. Diplômé de l’école des guides de montagne, autodidacte en géologie, il conçoit les premiers voyages touristiques dans le pays. D’abord des treks, puis des voyages d’affaires ou des séjours touristiques. Il coordonne aussi les tournages de documentaires ou de reportages (Arte, France3, Thalassa, la Cinq, TF1), a été traducteur pour l’Ambassade de France en Islande, la presse écrite française et il a organisé des expositions de photos à Reykjavik. Rentré en France en 2001, il participe à la conception de séjours à la carte, pour des individuels ou des groupes constitués. Pour en savoir plus

LIRE LES BILLETS DE JEAN-YVES SUR VIVRE EN ISLANDE

sebastien marrec

Sébastien Marrec

Né en 1991 dans la région bordelaise, Sébastien vit maintenant en Bretagne. Il découvre l’Islande à 15 ans grâce aux photographies minérales et envoûtantes de Patrick Desgraupes, dont l’irréalité le frappe. Entré à Sciences-Po Rennes en 2010, il décide de partir en stage en Islande pour sa troisième année, et reste un an pour travailler, voyager et percer la singularité de ce pays.

LIRE LES BILLETS DE SEBASTIEN SUR VIVRE EN ISLANDE

Aurore Guilhamet

Aurore Guilhamet

Après plusieurs long séjours en Islande, Aurore Guilhamet a créé le site www.toutelislande.fr, proposant de nombreux articles sur la culture islandaise, l’histoire, la nature et tout ce qui touche au pays. Ancienne libraire, elle est aujourd’hui biographe pour les anonymes et propose notamment un service innovant : le Love Book. Il s’agit d’un petit livre entièrement personnalisé, relié à la japonaise, racontant l’histoire d’amour ou de rencontre de futur(e)s marié(e)s ou pacsé(e)s. Pour en savoir plus

LIRE LES BILLETS D’AURORE SUR VIVRE EN ISLANDE

lea

Lea Gestdottir Gayet

25 ans, fanco-islandaise, diplômée de philosophie de l’Université la Sorbone et de l’université de Reykjavík. Polyglotte, Léa parle courament l’anglais et est tout à fait à l’aise en italien et en espagnol.  Française par sa mère, elle est incroyablement parisienne, révolutionnaire, branchée et idéaliste quand elle s’exprime en français, elle est par contre incroyablement old fashion et posée quand elle s’exprime dans cet Islandais de Dalvik, fief de sa famille paternelle tout au Nord de l’Islande.

LIRE LES BILLETS DE LEA SUR VIVRE EN ISLANDE

6 comments

  1. Bonjour,
    Merci pour votre site et, entre autres, pour cet interview de Jón Kalman Stefánsson. Je souhaiterais faire passer par wetransfer un projet de livre à Jón Kalman Stefánsson. Il s’agit d’un essai photographique sur les fjords de l’est, qui se déploie entre Alcoa et Kárahnjúka. Je suis artiste, photographe, je travaille en collectif avec Patrick Manez et nous avons eu une résidence à Skriduklaustur, près d’Egilsstadir. Stefánsson dans son livre « D’ailleurs, les poissons n’ont pas de pieds » décrit une réalité Islandaise aux antipodes des clichés touristiques qui collent à ce pays, ce qui est un peu notre propos dans notre récit photographique. C’est la raison pour laquelle nous souhaiterions vivement rentrer en contact avec cet écrivain. Si vous pouviez nous indiquer un moyen pour rentrer en contact avec cet écrivain, nous vous en serions très reconnaissant.
    Cordialement à toutes et à tous et merci pour votre réponse.
    Anne Favret & Patrick Manez
    documentsdartistes.org/favret-manez
    favretmanez@free.fr

  2. Bonjour, je viens de découvrir votre site internet. Les articles sont très divers, bien écrits et intéressants. J’ai encore beaucoup de lecture car en plus il est bien approvisionné!
    Je viens de finir de voir la série islandaise « Trapped ». J’ai beaucoup aimé l’ambiance et le rythme de l’histoire.
    Je viens de finir la lecture de « J’ai toujours ton cœur avec moi » de Soffía Bjarnadóttir et « Cent portes battant aux quatre vents » de Steinunn Sigurðardóttir. Plus je lis de littérature islandaise plus j’ai envie de mieux connaître ce pays et ses habitants. Jón Kalman Stefánsson m’a emballé avec sa saga en trois livres. D’ailleurs j’ai lu qu’il était aussi poète: n’y aurait-il pas une traduction de sa poésie?
    Je vous remercie de me faire rêver grâce à votre site.
    Cordialement à vous toutes et tous.

    • Bonjour Florence
      merci pour votre message
      à ma connaissance seuls 4 de ses romans ont été traduits en français
      mais Eric Boury son traducteur serait plus à même de répondre 🙂
      Belle journée à vous,

  3. salut a tout les amis sur ce site.islande ce beau pays. comment faire pour venir au islande.le hiver dans islande est vraiment magnéfique avec les neiges.merci.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Si vous n\'êtes pas un vilain Troll... * Time limit is exhausted. Please reload CAPTCHA.

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.